mardi 19 juillet 2011

Retour à mon Tour de France 1959 (15)...

Dimanche 19 juillet 2009


Quatorzième étape, Lourdes-Bagnères de Bigorre-Sainte Marie de Campan, 90km

Le Tourmalet: Premier grand col de mon Tour !
Petit message ce soir... après une petite étape super et plein de photos... malheureusement la liaison wifi de l'hôtel des 2 cols où je dors ce soir est un peu lente. Alors seulement trois photos pour l'instant...Très agréable montée du Tourmalet sous le soleil et à petite vitesse mais je suis bien arrivé en haut et je suis même redescendu tranquillement.

Demain cols d'Aspin et de Peyresourde au programme... et encore plein de photos si le temps le permet et promis, juré je compléterai ce message rapidement. Mais maintenant, c'est l'heure de passer à table: Bon appétit ! 


14ème étape (bis), Lourdes Sainte Marie de Campan, 90 km: TOURMALET !
Après un départ de Lourdes par une magnifique piste cyclable, encore une, me voici au pied du mur...

La route est belle ! 
La montagne aussi. 
Doucement, tout doucement, je m'approche du sommet. 
Pose (ou pause ?) photo à un kilomètre du sommet: c'est un Breton qui la prend.
Et voilà le sommet qui n'a pas beaucoup changé depuis 1959, mais je n'arrive pas à charger la vieille photo, ZUT ! 
Le bétail est prioritaire dans le Tourmalet ! MEUH ! 
"§µ£°@ !" OUI, OUI, je l'ai entendu !
Première grande descente: les mains sur les freins.
Et me voici, vite, très vite... à Sainte Marie de Campan où Eugène Christophe, le vieux Gaulois, fut obligé de réparer lui-même la fourche brisée de son vélo à la forge du village. C'était en 1913, je crois, et il perdit le Tour ce jour-là. Règlement, règlement. Imaginons Armstrong faire la même chose aujourd'hui, autre temps...
Les mounaques de Campan ont salué le Tour de France 2009 et le mien par la même occasion...


Et je file vers Bagnères de Bigorre et les allées Jean Jaurès où Michel Vermeulin, qui passe sa retraite à 12 km de La Ferté Gaucher, à Chauffry, endossa le maillot jaune... qui s'en souvient ? 
Retour vers Sainte Marie de Campan. 
Et enfin, j'arrive à mon hôtel, recommandé par la FFCT, mais où l'accueil est poli et le repas... décevant... la vie du cyclo n'est pas un long fleuve tranquille !

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